A quelques mois des examens nationaux session 2025, les responsables des établissements scolaires sont à pied d’œuvre pour parachever le programme d’enseignement. Un rendez-vous incontournable dans l’enseignement pré-universitaire qui met en lumière le niveau d’assimilation des cours et la valeur intrinsèque de chaque candidat. Selon le Directeur Communal de l’éducation (DCE) de Kaloum le taux d’exécution du programme est de 88%.
«Tout dernièrement, notre inspecteur régional de l’éducation de la ville de Conakry sur instruction de messieurs le ministre Jean Paul cedy a demandé de remonter les statistiques. Les techniciens m’ont fait croire que nous sommes à un taux d’exécution de plus de 80%, ça c’est le taux cumulé. Mais ce qui est plus important cette année, ce qui fait la spécificité de ces examens qui se veulent seulement crédible mais aussi qu’il y ait l’équité et la justice. L’évaluation doit se faire de bout en bout de la chaîne pas seulement la partie officielle qui sont connus par le grand public. c’est-à-dire, mettre les élèves dans les salles de classe les évaluer les services de sécurité sont là les APE tout le monde», souligne Ibrahima Yattara, DCE de Kaloum tout en revenant sur de nouvelle envisagées par le Ministère de l’enseignement pré-universitaire afin de rendre les résultats transparents et crédibles.
«A part de cette première phase, il faut suivre toutes la chaîne c’est-à-dire vérifier la correction des notes la saisie des résultats et les auditer. (…) dans les temps on était habitué à ne contrôler que la phase écrite des examens mais au-delà de ça, il faut revoir les phases de correction, de centralisation, celles des saisies et rendre fonctionnelle les commissions du jury à tous les niveaux», a-t-il indiqué
Le Directeur Communal de l’éducation de Kaloum a par ailleurs tenu à rassurer qu’il n’y a aucune anomalie entravant le processus d’organisation des examens nationaux.
Ibrahima Camara